En 2014, les subventions liées à la pompe à chaleur ont subi un coup de rabot suite à la nécessite de faire des économies de la part du gouvernement. En 2013, il était possible d’obtenir un taux de remboursement de ses dépenses d’un montant de :
- Pompe à chaleur air/air : 0%
- Pompe à chaleur air/eau avec un COP > 3,3 : 15%
- Pompe à chaleur géothermique : 26%
- Pompe à chaleur aquathermique : 26%
Depuis le 1er janvier 2014, ce taux est tombé à 15% pour tous les types de pompe à chaleur, excepté la PAC air/air qui n’était plus indemnisé à cause de son trop faible rendement.
D’après le ministère de l’économie, il se pourrait qu’au quatrième trimestre 2014, ces taux soient amenés à évolués. S’il fallait jusque-là effectuer un bouquet de travaux pour pouvoir espérer obtenir un crédit d’impôt à hauteur de 25% (15% dans le cas simple de l’achat d’une PAC), celui-ci pourrait être de 30% dans la cadre de l’achat et la pose d’une PAC par un professionnel certifié RGE.
Cette annonce est alors un formidable coup de pouce pour ceux qui souhaiteraient investir dans une pompe à chaleur puisque le taux de 30% n’a jamais été aussi élevé pour ce type de matériel.
L’objectif de cette augmentation est d’aider les foyers français à rénover énergétiquement leur logement tout en permettant la création d’emploi liés au secteur de l’énergie durement touché ces dernières années suite aux différentes baisses des aides accordée par l’état.
Pour ceux qui souhaiteraient changer de système de chauffage pour remplacer leur vieux convecteurs électrique par une pompe à chaleur, c’est donc le moment de se pencher sur la question. En effet, la PAC peut permettre de faire de réels économies en réduisant la facture énergétique de plus de 70% dans les meilleurs cas.
Source : http://www.economie.gouv.fr/cedef/economie-energie-credit-dimpot